Bashô a dû écrire bien des haïkus en se reposant le soir après ses journéées de marche.
Ce haïku ma ramène à l’instantanéité.
Le carnet, le crayon jamais là quand il faut…
le temps de réflexion avant d’écrire le premier mot..
et la correction pour le rendre compréhensible,
et celui qu’on écrira en se souvenant…
Je pense que même Bashô prenait le temps de se laver les mains avant d’écrire.
Soyons prudent avec la notion d’instantanéité.
Bon soleil à tous
jean paul
Bashô a dû écrire bien des haïkus en se reposant le soir après ses journéées de marche.
Ce haïku ma ramène à l’instantanéité.
Le carnet, le crayon jamais là quand il faut…
le temps de réflexion avant d’écrire le premier mot..
et la correction pour le rendre compréhensible,
et celui qu’on écrira en se souvenant…
Je pense que même Bashô prenait le temps de se laver les mains avant d’écrire.
Soyons prudent avec la notion d’instantanéité.
Bon soleil à tous
jean paul